Collection Anne Ma Muse. Fantasme D’Exhibe, La Suite (1/2)

Vous me connaissez, je suis Anne, la muse de Chris71, il vous rapporte le plus fidèlement possible ce que je ressens depuis mon divorce et mes envies de liberté.
Je lui rapporte fidèlement mes aventures mais aussi mes fantasmes.
J’en avais un que Pierre mon vieil amant a réalisé.
Je voulais m’exhiber, me sentir nue sous les regards d’hommes et pourquoi pas de femmes.
Les hommes, le contact ne me gênent pas, mais les femmes c’est plus compliqué.
Nous l’avons fait il y a quelques semaines.
Alors que je travaille et que j’habite à Besançon, pour éviter tous type de problème si dans mon exhibition je rencontre une personne me connaissant, c’est à Dijon qu’il m’entraîne.

Chris71 a publié il y a quelques jours ma soirée à l’orée de cette forêt que j’ai dû traverser sur 800 mètres avec pour tous vêtements ou accessoire une paire de chaussures à talon très peu pratique dans cette allée.
Des bancs et des lampadaires tous les 200 mètres devaient me permettent de remonter ce chemin afin de le rejoindre de l’autre côté.
J’ai senti des personnes roder près de moi surtout à la moitié de la distance quand un lampadaire étant cassé je me suis assise et ai vu un homme s’avancer.
Il s’est masturbé mais Pierre avec qui j’étais en contact par nos portables m’a dit de ne pas m’inquiéter qu’il ne ferait rien si je ne l’invitais pas à venir me sauter.
Tout s’est passé comme il me l’a dit.
Au moment où je rejoignais notre voiture, j’ai même vu une femme dans la même tenue que moi emprunter le chemin inverse.
Pierre m’a dit qu’elle allait profiter des rôdeurs et qu’elle franchirait ce que je n’ai pas osé, se donner à ces hommes sur l’un des bancs, voire plusieurs.

Comment Pierre connaît-il ces endroits, je croyais que lors de notre rencontre même s’il y avait une différence d’âge, il m’avait tout dit sur sa vie d’avant comme je l’avais fait ?
Je le connais si bien que je sais l’inutilité d’insister pour en savoir plus, il restera muet comme une carpe.


Il m’a dit connaître deux endroits, les semaines sont passées depuis la première fois.
En repensant à ce que j’ai ressenti, mon fantasme revient plus fort encore.
Deux solutions s’ouvrent à moi, refaire le chemin et m’asseoir sur un banc, pourquoi pas.
M’offrir à des hommes, je l’ai fait si souvent depuis mon divorce.
Même mon neveu en a profité ainsi que George l’un de nos chauffeurs et Séréna sa femme avec qui j’aie partouzé.
Ses propos me reviennent de plus en plus clairement, « Je connais deux endroits ».
Le premier j’ai déjà pratiqué, je me caresse en pensant au deuxième.
Quel est-il ?

- Pierre, je voudrais te demander !
- Je sais, je me demandais quand tu le ferais, tu veux savoir si je peux te conduire dans le deuxième lieu où tu pourras t’exhiber.
- Je vois que nous sommes en phase comme chaque fois que je te demande ces choses sortant de l’ordinaire.
- Mais tu veux autre chose que la traversée de la forêt, bien que je ne désespère pas que nous y retournions pour que tu te donnes aux hommes qui la hantent toutes les nuits.
Cette fois-ci, tu veux que je te conduise au deuxième lieu que je connais, où tu pourras satisfaire ton envie.
- Tu me connais bien, je n’arrive plus à dormir, je me vois déjà provocante après m’avoir dit ce que je devrais faire.
- Il faut que je consulte la météo et que j’aille chez moi récupérer les paquets que je me suis procurés sachant qu’un jour tu me ferais cette demande.
La météo est importante car, pour s’exhiber, il faut qu’il fasse relativement beau.
Qu’aurais-tu pensé si je t’avais fait traverser la forêt en janvier ?
- On a le temps de se poser la question, on a le temps, d’ici cet hiver.

Nous éclatons de rire.
C’est le vendredi que j’ai des nouvelles de mon amant par un message sur mon portable.

« Tu m’excuses Anne, je ne peux passer ce soir, mais je vais passer en début d’après-midi.

Va dans ta boîte aux lettres, tu trouveras des paquets avec des affaires que tu revêtiras.
À 21 heures je serais devant chez toi, tu sortiras et je te conduirai sur ton lieu de plaisir. »

Je trouve les paquets, guêpières bleu ciel, chaussures de même couleur et c’est tout.
Je sais ce que cela veut dire, je devrais sortir la chatte dénudée.
Je m’empresse de tout passer.
Je suis fière de mes seins encore très fermes pour mon âge avançant.
Comme tout un chacun je vais sur Internet et je vois des femmes de mon âge ayant les seins plats tombant presque jusqu’à leur nombril.
Certes, les balconnets les tiennent tendus vers le ciel mais en temps normal, ils ne sont pas si mal.
Internet, c’est là que j’ai vu des films ou des femmes sont dans des parcs, des allées entre des immeubles sous les fenêtres des gens.
L’une d’elles avait une jupe ample et sortais de toilettes publiques.
Faisant celle qui ne s’est pas aperçue de ce qu’elle a fait elle remonte carrément le trottoir d’une ville.
Sa jupe est repliée à la hauteur de son postérieur et est prise dans sa ceinture.
On voit carrément son postérieur voyant même la ficelle de son string noir sur sa peau blanche.
Les personnes qui la doublent remarquent ses jolies fesses.
Bien sûr personne ne le lui signale.
Un bon moment c’est quand un homme bon chic bon genre avec costard, attachée caisse, passe à son côté.
Faire voir son cul, c’est devenu obsédant, si je raconte ça à un psy, il m’enferme sur-le-champ.
Pourtant cela existe, je l’ai déjà fait une fois et j’espère le refaire dans quelques minutes car je suis en tenue et en avance.
Pierre m’a dit que je devrais sortir, presque à poil au risque de me faire repérer par un voisin, j’enroule autour de mon corps le paréo acheté offert au Cap d'Agde chez Josyane en février.
Je sors juste quand la voiture de mon homme arrive.

- Tu es à l’heure, monte, nous serons juste à l’heure.

Avec ce temps clément ils seront là et tu pourras vivre ton fantasme pleinement.
Je te rappelle, je propose, tu disposes, tu seras toujours maître de nos jeux.
Nous nous arrêterons juste avant d’arriver afin de finir de te préparer.

Pierre est un bon conducteur sauf quand je suis à ses côtés surtout ce soir où il sait ma chatte dénudée.
Une main sur le volant l’autre caressant mon vagin.

- Nous arrivons, défais ton paréo, il faut voir ton corps.
Je vois que j’ai bien choisi ta guêpière, tu es bandante.
On va bien s’amuser.
Je vais pencher ton siège pour que tu sois plus allongée et dégager la vision de ta chatte.
C’est bien pour montrer ta jolie chatte que nous sommes là.
- Oui Pierre, c’est pour ça.
- Je vais te mettre ceci autour du cou, tu apparaîtras comme une gentille chienne à son maître exécutant tous ses ordres.
- Oui Pierre, je suivrais tes ordres.


Collier bleu en cuir avec sa laisse, pour la première fois j’ai l’impression d’appartenir à Pierre d’une autre manière que celle que nous avons eu depuis que je le connais.
Cette sensation nouvelle est déjà un point positif à cette soirée qui je suis sûre marquera dans la vie de notre couple comme toutes mes aventures depuis que Chris71 vous les rapporte.
Je suis prête à être livrée à mon fantasme.

L’entrée de Dijon, la dernière fois nous étions partis à droite.
Nous prenons à gauche.
La nuit est tombée et nous nous engageons dans un terrain vague à côté d’un chantier vide d’ouvrier à cette heure.

- Profite de ta soirée, j’ai appris que ce terrain sera livré au chantier voisin pour y construire la deuxième tranche des immeubles qui vont y être implantés.
Cette friche où les Dijonnais venaient s’amuser va disparaître.
Les libertins et les voyeurs vont perdre l’un de leur terrain de jeu.

Qui est l’homme qui semble connaitre bien des choses, il a parlé de libertin, en est-il un ?
En a-t-il été un avec sa première femme ?
Venait-il avec elle assouvir ses fantasmes à lui ou comme moi à elle ?
Une nouvelle fois je me garde bien de lui poser des questions, surtout qu’il arrête la voiture en plein milieu de cet endroit.

Il éteint les phares, mais j’ai eu le temps de voir que plusieurs voitures étaient garées là.
Voiture de voyeur ou voiture d’exhibitionniste comme moi.
Ça fait quelques minutes que nous sommes là, quand on frappe à ma fenêtre.
Je tourne la tête, une verge manipulée par une main qui semble avoir un bon coup de poignet.
Pierre allume le plafonnier.
La lumière est directement dirigée sur mon intimité.
J’écarte mes cuisses.
Que ma fête commence…

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